Vendredi 24 Aperirel :
Cela fait plusieurs que ce rapport n’a pas été mis à jour. Pour cause, le journaliste chargé d’écrire ce rapport fut retrouvé mort dans sa propriété à Sufokia, apparemment, il ne fait nul doute que les Crocoburios en sont les responsables.
C’est donc moi, Papi-Droppeur, qui me chargerai de reprendre du mieux possible son travail.
Pour commencer, j’ai pus retrouver mon interview, tachée de sang, j’ai du la réécrire intégralement.
Journée Waliste : Bonjour Papi-Droppeur.
Papi-Droppeur : Bonjour Walliste, appelez moi Papi.
Journée Waliste : D’accord. Je suppose que vous êtes au courant des événements survenues à Sufokia ces derniers jours ?
Papi : Oui oui oui ! Ces crocodailles se multiplient et dégagent une puanteur abominable, c’est une véritable catastrophe…
Journée Waliste : Concrètement, quels sont les dégâts dans la cité ?
Papi : Pour le moment, outre une odeur désagréable et un début de pollution dans l’eau, une crainte réside dans la. Pour le tourisme, pas de grand changement étant donné que Sufokia est une ville toujours paisible. J’ai bien peur qu’ils ne s’en prennent à ma merveilleuse villa…
Journée Waliste : Pourquoi n’envisagez vous pas de les chasser ?
Papi : Seul, je suis trop faible, ces bestioles préfèrent attaquer en groupe, elles sont malines… Il y’a trop peu de Sufokiens inquiétés pour faire face, il faudrait donc appeler à l’aide aux Amaknéens mais la plupart n’ont jamais mis les pieds dans Sufokia et n’ont guère envie de perdre leurs temps…
Journée Waliste : Effectivement…il faudrait les tenter, outre une récompense, je ne sais pas trop se qui pourrait les intéresser…
Papi : Je verrai bien. Il est certain que je ne resterai pas la barbe croisée. Je vais agir et cela le plus tôt possible.
Journée Waliste : Merci bien Papi-Droppeur, que votre barbe vous garde.
Papi : Appelez-moi Papi bon vieux sang de bon soir !
Comme vous pouvez le voir à travers cette interview, j’étais fin prêt à agir. Mon appel à l’aide est désormais lancé !